L'Inde, un exportateur de riz pas toujours très responsable?

L'AVIS DE L'EXPERT: Patricio Mendez del Villar, chercheur au Cirad.

Une fois de plus l'Inde, producteur et exportateur de premier rang sur le marché du riz, fait planer le risque d'un emballement des cours. Cette année ce sont ses importations imprévues qui font monter la pression. L'année dernière on lui a reproché d'avoir limité ses exportations. Une attitude très critiquée par le négoce. Patricio Mendez del Villar, un expert indépendant, chercheur au Cirad nuance tout en soulignant qu'il est nécessaire de discuter des responsabilités des grands exportateurs, et de l'Inde en particulier. 

 

Questions sur le marché du riz

La crainte d’une nouvelle flambée des prix : un scénario contestable.

Alerte sur le marché du riz

Les Philippines sont à la recherche de 600 000 tonnes de riz sur le marché mondial. Cet appel d’offres qui sera lancé dans les prochains jours renforce les tensions sur un marché fébrile.

 

L’or au-delà des 1100 dollars l’once : merci la Fed.

Ce matin l'or a atteint un nouveau record en Asie en terminant la séance à 1.108 dollars l'once, après avoir pour la première fois franchi le seuil de 1.100 dollars vendredi à Londres. C’est toujours la pâleur du billet vert qui fait briller le métal précieux.

 

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Le lait bientôt échangé à terme à Paris

Trois nouveaux contrats à terme pourraient voir le jour d'ici l'été prochain, à la bourse de Paris : la poudre de lait, le beurre industriel et le lactosérum, un produit du lait qui est utilisé dans l'alimentation du bétail, mais aussi pour la fabrication des laits infantiles.

Irak : les majors attendent le prochain appel d’offres

On ne peut pas dire que le premier appel d'offres de l'après Saddam Hussein, dans le secteur pétrolier, ait été jusqu'à présent un franc succès. Les conditions draconniennes imposées par Bagdad aux compagnies étrangères les ont fait fuir, ou tout du moins, longuement hésiter, depuis cinq mois.

Le papier a touché le fond

 

Presque tous les producteurs de pâte à papier sont sur le point d'augmenter leur prix le 1er novembre prochain.

 

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Le carbone a le vent en poupe

Le prix de la tonne de CO2 a continué à se redresser ce mois-ci en Europe, entraîné par la hausse du pétrole et par les espoirs en une meilleure conjoncture économique mondiale. Il devrait se maintenir autour de 14 euros 30, loin du prix plancher de 8 euros au printemps dernier.
Le marché des quotas européens devrait d'ailleurs bientôt faire des émules dans le monde, et d’abord en Australie, un pays de plus en plus directement menacé par le réchauffement climatique.
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Ethanol : la parade brésilienne

Faute de canne, le Brésil, le premier producteur au monde de sucre, est contraint d’abaisser ses objectifs en matière de production d’éthanol. L'essor de l'agrocarburant en fera t-il les frais?

Les fermiers sud africains à la conquête du continent

Le ministre congolais de l’agriculture a signé cette semaine un accord avec la principale organisation sud africaine d’agriculteurs pour louer des terres à des fermiers afrikaners.

Cacao, les planteurs sont chocolat

Ghana, Côte d’Ivoire, ou Madagascar : partout les planteurs rejimbent, leurs revenus ne reflètent pas assez la hausse des cours.

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Lithium: les Boliviens n'ont qu'à bien se tenir

Plus la peine de baver sur le Salar de Uyuni, le désert de sel de Bolivie qui contiendrait le tiers des réserves mondiales de lithium, car un sérieux concurrent est apparu ce week end: le Mexique se targue d'abriter le plus grand gisement au monde du petit métal si recherché par les Bolloré et consorts, c'est-à-dire par "les constructeurs de la voiture électrique du futur à la recherche du métal idéal pour fabriquer les batteries de la dite voiture".

Le coton africain condamné à évoluer

 

En cinq ans la production africaine de coton a été divisée par deux. Concurrencé par des fibres subventionnées, pénalisé par la faiblesse du dollar, le secteur doit évoluer vers la polyculture prône le sénégalais Ahmed Bachir Diop, le président de l'Association Cotonnière Africaine. 
 
 

Suspense pour les trafiquants de bois de rose

Depuis quelques jours Tamatave est devenu le nouveau spot du trafic de bois de rose. Responsables de la lutte contre ces exportations abusives, journalistes, et bien sûr les opérateurs véreux : tous accourent au port de la côte est de Madagascar pour suivre le sort de la cargaison illicite de bois de rose saisie la semaine dernière.
 
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Dol contre dol : l’ or triomphe

Si l’or s’est hissé hier à un nouveau sommet historique,  1045 dollars l’once à New York, c’est à cause du dollar, ou plutôt de la conspiration contre la monnaie américaine.

Le pétrole entre déraison et dépression

 L'AVIS DE L'EXPERT: Benoît Cougnaud de Azurris Risk Advantage, société de conseil en gestion des risques financiers. 

En dépit de leur importance pour l’économie mondiale, les cours du pétrole offrent le spectacle d’une instabilité chronique, depuis 2008. Selon Benoît Cougnaud, de Azurris Risk Advantage le marché du pétrole réagit aujourd'hui comme les bourses, autant dire que l'humeur est maussade et l'évolution risquée...
 

Sarkozy intervient pour débloquer un contentieux avec la Syrie

Un grain de blé grippait les rouages du rapprochement entre Damas et Paris. Grâce à l’intervention du président de la république française le voilà ôté, ou presque…

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L'or, un ami très cher

Sur le marché de l’or, l’once est rivée à la barre des 1000 dollars depuis 15 jours. Un prix qui fait fuir ses amies de toujours : les femmes ! et en attire d’autres… Les investisseurs, qui lui veulent du bien sans doute.

 

 

Le cacao ivoirien encore le big boss

Le cacao ivoirien commence  à descendre vers les ports. La campagne s'annonce moins décevante que la précédente, toutefois le déclin de la récolte du premier fournisseur mondial du marché continue à être préoccupante.

A lire et à écouter sur le site de RFI.

 

La vanille malgache en proie à ses vieux démons

Sur la Grande Ile, les opérateurs du marché de la vanille se livrent à une sorte de guerre de tranchée depuis quelques semaines. En ligne de mire: le prix minimum instauré cet été par le gouvernement. Les paysans sont les premières victimes de ce conflit larvé. Mais à plus long terme, comme toutes les guerres, celle-ci pourrait être dévastatrice pour tous les acteurs de la filière.

Le marché est au point mort, faute de participants. Tous rechignent à payer le prix officiel... La suite sur le site de RFI. 

(Photo Rémi Jouan)

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